Le sommaire
Cet automne, les rues de Bruxelles, de Namur et d’autres villes résonneront de pas, de voix et de convictions. Le 24 septembre à Namur, des milliers de travailleuses et travailleurs ont marché pour l’emploi, pour rappeler qu’en Wallonie, le travail digne et de qualité reste la meilleure des protections sociales.
Le 5 octobre, lors de la marche climat, c’est avec une coalition très large que nous redirons l’importance de soutenir une transition énergétique et notre refus des reculs en matière d’ambition climatique.
Le mardi 14 octobre, nous serons toutes et tous rassemblés à Bruxelles lors de la marche pour les carrières pour exiger du gouvernement fédéral qu’il soutienne davantage le monde du travail plutôt que de le précariser.
Ces mobilisations s’inscrivent dans une même logique: celle de la responsabilité collective. Elles ne sont pas l’affaire d’un seul secteur, d’une seule génération ou d’un seul syndicat. Elles sont citoyennes, solidaires et ouvertes. Battre le pavé, c’est faire entendre que nous refusons la résignation. C’est rappeler que les droits sociaux, la justice fiscale, la transition écologique juste et la démocratie ne se négocient pas dans le silence.
Chacune de nos marches est un signal adressé aux décideurs, mais aussi un appel à toutes celles et ceux qui souhaitent une société qui au lieu de broyer, redonne confiance. Rejoignez-nous dans la rue pour porter la parole de tous et toutes et faire vivre la démocratie et faisons un pas ensemble vers plus de solidarité.
L’automne est là: nous aussi, avec notre résolution et notre chaleur humaine face au vent glacé des mesures antisociales.
Marie-Hélène Ska, secrétaire générale
Chacune de nos marches est un signal adressé aux décideurs, mais aussi un appel à toutes celles et ceux qui souhaitent une société qui au lieu de broyer, redonne confiance.
