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Cela fait des années que les militantes de la Ligue des travailleuses domestiques sans-papiers de la CSC Bruxelles poursuivent inlassablement leur combat pour obtenir des droits.
D.Mo.
Lors de la précédente législature, plusieurs membres du Parlement bruxellois s’étaient engagés à répondre aux trois revendications de la Ligue: un accès au travail légal et digne, une pleine protection pour porter plainte contre un patron abuseur et un accès aux formations, et la reconnaissance des acquis de l’expérience. Ces engagements n’ont pas été tenus. Le 20 juin dernier, elles ont rappelé, devant le Parlement bruxellois, leurs revendications sous la forme d’une performance artistiques baptisée Silence Radio.
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